Le marché de Nouatchott
Le fleuve Sénégal, frontière sénégalo-mauritanienne
Bonjour tout le monde
De retour au Burkina Faso depuis jeudi, nous logeons actuellement dans la maison d`une famille québécoise a Bobo-Dioulasso, deuxième plus grosse ville du Burkina
Depuis la parution du dernier article sur le blog, nous avons commence donc notre grande avancée vers le nord. Partis samedi en début d après midi de Cape coast, nous sommes arrives dimanche soir A Tamale la plus grosse ville du nord après avoir été loge chez la sœur de Mr Aisic samedi soir a Kumasi.
A Tamale, l heure tardive de notre arrivée ns a oblige de dormir dans une maison d accueil, sorte d hôtel a moindre cout. Des le lundi matin, ns avons repris le bus en direction de Labaranga, petit village musulman, place a 6km du Mole national Parc, endroit indique sur tout les guide comme étant LE parc a faire si l on veut observer de près des d éléphants.
Des notre arrivée a Labaranga, nous avons été accueilli par Oli et Hassan, deux jeunes proposant leur service pr nous guide jusqu’ au Parc. Tout de suite, nous nous sentions a l aise, et l accueil fait par les villageois nous a inciter à repousser la visite du Parc a un jour tellement nous nous plaisions a échanger avec les locaux. Ce village, 100% musulman, se vante d être celui sur lequel a été bâti la plus vieille mosquée d Afrique de l ouest, il y a de ca plus de 500 ans. Information étonnante qui ne demande qu’à être vérifier.
Pour de ce qui est cette journée avec les villageois, imaginer nous au pied d un arbre en train de cuisiner avec une trentaine d enfants autour de nous, tout curieux de voir des blancs, avec qui ensuite nous avons partage le repas ( très difficile a mettre en place ), puis imaginez ces mêmes enfants au dessus de nos têtes, nous tressant les cheveux, nous caressant les poils des bras et des jambes , et nous observant ce bizarroïde trou de nombril avec une curiosité sans pareille.
Le lendemain, la visite au Parc de Mole, a été une grande déception, du fait d une part de la présence d` un petit groupe d asiatique très bruyant, et d autre part de la absence d éléphants a l heure de notre venue. Rien a signaler et a retenir donc de cette expérience que nous attendions avec trop d espoir. Nous quittions quand même le village de Larabanga avec encore une fois des images pleins la tête.
Pour continuer notre avancée vers la frontière burkinabé, un australien vivant au Ghana depuis dix ans et faisait découvrir a son fils le pays nous a fait monter sur la remorque de son 4x4.
A Wa, dernière ville au nord ouest du pays, nous cherchions ou dormir quand Lambert, un jeune étudiant en économie, nous a tout naturellement propose de nous accueillir chez lui. Le lendemain, nous quittions le Ghana aux alentours de 12h pour arriver 300km plus loin, a Bobo, en début de soirée.
Nous sommes donc a Bobo, et ce, pour une durée d au moins une semaine a travailler avec Eve et Simon, deux infirmiers dans une centre de soins pour séropositifs. La structure pour laquelle il bosse depuis trois mois s appelle REVS+ ( www.revs.bf ) . Cette structure, créée en 1996, par une infirmière burkinabé a pour vocation, d`épauler les personnes atteintes du VIH grâce a la mise en service de soins médicaux et de soutien psychologique.
Nous avons commencer des vendredi; vêtus d une tenue d infirmier, notre boulot consiste pour le moment a prendre la tension et la température des patients.